Retour
brutal à la vie moderne. Nous débarquons dans Tananarive, vitres relevées et
portes fermées. Les vitres, c'est d'abord pour les vols à l'arraché, mais
également pour la pollution! Après presqu'un mois passé en pleine nature, le
centre ville étouffant, bruyant et embouteillé de la capitale m'agresse.
Nous
arpentons tout de même les 12 collines sacrées de la ville, jusqu'au palais de
la reine, en reconstruction depuis près de 15ans. De là haut, le panorama est
assez sympathique.
J'ai
l'occasion de mettre à l'épreuve mes nouvelles techniques de marchandage,
apprises dans la jungle Vietnamienne (^^'), sur les marchés d'Antananarivo. Je
suis relativement satisfait, ayant réussi à négocier moins de la moitié des
prix de base des articles convoités. Je reste tout de même convaincu que mon
amie Aicha les aurait eu à un prix encore plus intéressant...
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